Plantes Carnivores

Dans cet article nous nous penchons sur les plantes carnivores. Les Nepenthès truncata, les Saracenia, les Dionea muscipula, etc. Elles sont toutes fascinantes, mais différentes. Chaque plante carnivore a mis en place des systèmes ingénieux pour capturer leurs proies. C’est d’ailleurs pour cela que ces plantes fascinent. Une espèce végétale est capable de se nourrir d’insectes et parfois d’animaux. L’évolution leur a permis de mettre en place des pièges infaillibles pour se nourrir. Nous avons détaillé une partie de leurs caractéristiques dans notre article ci-dessous.

Qu’est-ce qu’une plante carnivore ?

La première question que l’on peut se poser dès le départ, c’est quoi exactement une plante carnivore ? Une plante carnivore est aussi appelée plante insectivore, car dans la réalité cette plante ne mange que des insectes. Il y a parfois des grenouilles et des souris qui ont étaient découverte dans les pièges créer par ces plantes, mais ce n’est observable qu’en Asie. La grande majorité des plantes carnivores sont surtout insectivores.

Les plantes carnivores sont des plantes qui ont au cours de l’évolution créée des adaptations morphologiques et physiologiques leur permettant de capter l’azote contenu à l’intérieur de l’animal. Donc pour être carnivore (comme son l’indique), il faut que la plante soit capable de capturé sa proie, mais elle doit aussi s’en nourrir.

Il y a plein de plantes ou des insectes et animaux sont piégés à l’intérieur, mais il n’y a pas de phase de digestion. Ce qu’il faut pour que la plante soit vraiment considérée comme carnivore et non pas protocarnivore ? (La plante protocarnivore piège des insectes, mais ne peut pas les digérer). Tout d’abord il faut qu’elle piège l’animal, mais qu’elle ait également tous les systèmes pour digérer une partie des protéines contenue à l’intérieur de cet animal.

Comment peut-on imaginer qu’une plante peu digérée un animal ?

Par exemple le Nepenthès truncata représenté en photo ci-dessus m’est en en place un piège en forme d’urne qui permet via un système de glissement la mort par noyade d’un insecte (à l’intérieur de l’urne du Nepenthès, les poils rigides dirigés vers le bas agissent comme un toboggan). L’urne va produire des enzymes digestives qui vont décomposer les protéines des insectes et s’en nourrir. Donc il y a à la fois le piège et le système d’alimentation. La plante carnivore va tout simplement dissoudre sa proie et petit à petit absorber la substantifique moelle.

Les pièges sont tout à fait particuliers. Sur le nepenthes truncata, on remarque qu’il y a rebord brillant et glissant. Donc l’insecte est attiré, il tombe dans l’urne et il ne pourra jamais remonter. Les nepenthes sont les plantes carnivores les plus spectaculaires. Elles vivent beaucoup en épiphyte dans les montagnes et dans les environnements ou l’altitude est important. Elles prennent des formes très différentes selon leurs environnements. Il y a environ 130 espèces de nepenthes connues, mais on en découvre tous les ans.

Les Saracenia qui sont des plantes que vous pouvez cultiver dans votre jardin possèdent des grandes trompettes qui font également penser à des urnes. Cependant le piège des plantes carnivores le plus connues est le piège à mâchoire de la Dionea muscipula. C’est d’ailleurs la plante carnivore qui se vend le plus dans le commerce.

Il y a 5 pièges différents chez les plantes carnivores :
- Les pièges à urne, les insectes se placent sur le rebord, glissent et se noient.
- Piège à mâchoire, qui rappelle un petit peu le piège à loups.
- Le piège collant à base de poils.
- Utricules des plantes aquatiques carnivores (les crustacés sont aspirés à l’intérieur).
- Le dernier piège est également aquatique. Ça s’appelle des entonnoirs (visuellement cela ressemble à une espace de spirale) à l’intérieur desquels des insectes vont être digérés.

Pourquoi ces plantes ont évolué dans ce sens ? Pourquoi sont-elles devenues carnivores ?

En terme d’évolution, on ne peut jamais dire le pourquoi. Par contre ce que l’on sait c’est que les carnivores existent dans différentes familles botaniques. Sur tous les continents en zone tempérée comme en zone tropicale et ce que l’on constate, c’est que ce sont des plantes qui vivent dans des milieux ou les sols sont pauvres en azote.

La plante va via ses adaptations morphologiques et physiologiques chercher l’azote dans le règne animal. Du coup elle a mis en place toutes ses stratégies et pièges pour attirer les insectes et animaux. Finalement ce que l’on constate c’est que cette carence en azote est compensée par la mise en place de la carnivorie.

Donc cette carnivorie est une technique évolutive qui montre une certaine adaptabilité de la plante, mais également une véritable astuce pour attraper ses proies (les pièges sont très élaborés). On ne peut pas faire de classement en terme d’évolution, mais il faut reconnaitre que ses plantes carnivores fascinent énormément les gens. Il y a des collectionneurs, des réseaux et même des congrès dédiés à ces plantes. Ce qui fascine ce sont ces adaptations morphologiques improbables et le fait qu’une plante (que l’on considère souvent comme des êtres inférieurs) soit capable d’aller piéger des êtres vivants du règne animal.

On peut considérer qu’avec leurs stratégies et leurs patrimoines génétiques les plantes carnivores ont été capables de capturer des êtres vivants plus intelligents. Donc elles ont un besoin, elles mettent en places des choses et elles obtiennent un résultat. Ce qui est une forme d’intelligence. Par contre il ne faut pas oublier que cette évolution a pris énormément de temps. Dans le règne animal ou végétal, les évolutions complexes ont véritablement pris des millions d’années. D’ailleurs les plus anciennes plantes carnivores connues datent de l’ère tertiaire qui s’étend de -66 à -2,58 millions d’années.

Les plantes carnivores sont mystérieuses, complexes au niveau scientifique, mais aujourd’hui on les utilise pour leurs propriétés. Des chercheurs ont découvert que les plantes carnivores pouvaient servir. Il y a tout un tas d’enzyme qui sont produits par les plantes carnivores qui peuvent être utilisées dans l’industrie ou dans d’autres choses. Les molécules mises en place par ces plantes sont de vraies usines chimiques qui permettent de digéré, donc qui sont intéressante a exploité. N’oubliez jamais que toutes les plantes sont des usines chimiques, mais naturelles bien sûr.

Plantes carnivores entretien

La plupart des espèces de plantes carnivores ne sont pas difficiles à entretenir. Elles s’achètent facilement sur internet ou dans une jardinerie. Une fois que vous en avez fait l’acquisition, il faut la rempoter. Vous pouvez vous servir de gros pots en plastique qui font environ 10 à 20 centimètres de diamètres. Ce sera largement suffisant pour les premières années.

Utilisé du substrat est idéal pour rempoter les plantes carnivores. Un bon mélange est constitué de tourbe blonde et de matériaux drainants (sable, ou encore de la perlite). Ces matières sont facilement achetables, mais vous les trouveraient seulement en grosse quantité. Les sacs proposés à la vente en ligne ou en jardinerie font généralement plusieurs litres. Avec de la chance, vous pourrez trouver un mélange tout prêt.

Une fois que vous avez le substrat vous devez remplit le pot, l’humidifié et creuser un trou pour placé la plante. Une fois qu’elle est en place vous n’avez plus cas tassé le mélange et rajouté de l’eau pour que la totalité du substrat soit humide. Par contre petit préconisation, il ne faut pas arroser vos plantes carnivores avec l’eau du robinet. Il faut absolument utiliser de l’eau déminéralisée. Celle que l’on utilise généralement pour les fers à repasser ou pour les batteries de voiture. L’eau du robinet ne pourra être utilisée qu’en cas de secours. Le pot avec la plante carnivore doit être placé sur une soucoupe remplie d’eau. Vous rajouterez de l’eau à chaque fois qu’il n’y en a plus.

Choisir l’emplacement

Vous devez placer la plante carnivore dans un endroit lumineux. Une pièce où il y a beaucoup de lumière, là où le soleil est présent. Dans la nature ce type de plante se trouve dans les zones montagneuses ou marécageuses. En gros dans des endroits où l’ombre n’est pas présente. Du coup le meilleur emplacement possible pour vos plantes carnivores est sur un rebord de fenêtre, dans votre véranda ou sur votre balcon.

Le principal est de vous assure que de l’eau est toujours présente dans la soucoupe. N’oubliez pas d’en verser si vous partez quelque jour en extérieur. La plante consomme de l’eau, mais celle-ci s’évapore également à cause du soleil. Du coup il faudra plus souvent rempoter la soucoupe si vous habitez dans une région ensoleillée.

Les plantes carnivores résistent au froid, donc vous pouvez les laisser dehors pendant toute l’année. Cependant il ne faut pas leurs faires subirent le gel si elles sont placées dans de petits pots de fleurs. Du coup les personnes habitant dans des régions avec des hivers rigoureux devront les rentrés et les placées dans des pièces lumineuses. Au pire vous pouvez les protégés du froid en appliquant du film plastique ou un paillage.

Les plantes carnivores poussent pendant le printemps et l’été, donc leurs périodes de repos sont en automne et en hiver. L’entretien de la plante est simple. Vous l’arrosez et vous n’aurez cas couper les feuilles qui ont séchées ou noircies.

Vous pouvez en cultiver en extérieur, mais aussi en intérieur. Lorsqu’elles sont placées chez vous, vous devez les mettre près d’une fenêtre pour qu’elle profite des rayons du soleil. Nous vous recommandons cet emplacement du mois de mars à novembre. Les mois de repos (automne/hiver), vous devrez la placer dans un environnement frais dans lequel il fait moins de 10°C. Bien sûr cet endroit devra une nouvelle fois être lumineux. Il pourra attendre parfaitement la végétation dans ces conditions.

Les plantes carnivores qui sont cultivées en plein soleil seront en pleine forme et aborderont de jolies couleurs. Vous pourrez les observés capturer des insectes. Bien sûr ne jouez pas avec, il ne faut pas s’amusez à leurs apportés des proies. Elles sont assez grandes pour se débrouiller seules. L’engrais est également non recommandé. C’est vraiment nocif pour ces types de plantes. En tout cas si vous les entrainez correctement vos plantes carnivores produiront des graines que vous pourrez utiliser comme semis.

Arrosage

Les plantes carnivores doivent être placées dans des pots avec substrat humidifiés. Il faut absolument les arroser quotidiennement. Pour cela vous placez de l’eau dans la soucoupe placée au pied du pot. Il faudra répéter ce geste assez souvent s’il fait chaud. Ce qu’il faut retenir c’est que le substrat doit toujours rester humide.

Il est à noter qu’il faut l’arroser, mais pas la vaporiser. SI vous faites cela, vous risquez d’endommager ses pièges. Du coup elle ne pourra plus se nourrir d’insectes. Vous pouvez récolter l’eau de pluie pour l’arroser. Cela vous fera économiser de l’argent, mais surtout l’eau de pluie est parfaitement équilibrée et adaptée pour les plantes carnivores.

Par contre l’eau du robinet est totalement inappropriée. Le chlore et le calcaire sont des poisons pour les plantes. Les personnes qui ne sont pas habituées à faire pousser ce type de plante les voient rapidement mourir à cause de cette pratique.

Livre sur les plantes carnivores

Les plantes carnivores sont fascinantes, cependant le grand public ne les a découverts que très tardivement. Du coup leurs cultures et leurs entretiens restent toujours un grand mystère. C’est un type de plante qui pousse dans les régions tropicales, mais elles sont également capables de résister au climat de la France.

Nous vous présentons ci-dessous une liste de livre qui pourront vous aider à cultiver les plantes carnivores. Vous obtiendrez de précieuses ressources pour les entretenir et aussi pour reproduire un environnement naturel afin qu’elles s’adaptent à votre intérieur ou extérieur. Ces ouvrages sont parfaits si vous voulez en apprendre davantage sur les plantes carnivores.

Plantes carnivores comment les choisir et les cultiver facilement

Jean-Jacques LABAT a fait de sa passion son métier : il possède au sein de sa pépinière " Nature et Paysages " l'une des collections les plus complètes au monde de carnivores : 450 espèces différentes sur les 550 espèces répertoriées. En contact permanent avec les amateurs, des débutants aux plus chevronnés, c'est un expert qui connaît bien les questions qui peuvent se présenter en culture.

Au sommaire:
Qu'est-ce qu'une plante carnivore ?
Cultivez vos carnivores
Fiches de culture par espèce : pour néophytes, pour amateurs, pour amateurs chevronnés
Maladies et parasites

Extrait
Qu'est-ce qu'une plante carnivore ?
Le petit monde des amateurs est divisé en deux : ceux qui les qualifient d'insectivores, et ceux qui leur préfèrent le terme de carnivores. Pour les premiers, il existe peut-être une méconnaissance du type de proies capturées, ou plus profondément la crainte de voir un végétal Carnivore exister, bouleversant ainsi l'ordre naturel et rassurant des choses qui veut que ce soit la chenille qui dévore la salade. Ici, c'est l'inverse ! Les seconds ont une connaissance de la diversité des victimes, et à travers le terme «Carnivore» courent sans doute encore après un vieux rêve d'enfant : le mythe, presque réalisé, du végétal anthropophage... Mais ces plantes n'ont pas vraiment tranché la question. Elles digèrent, bien sûr, majoritairement des insectes, papillons, mouches, petits crustacés, mais aussi parfois des vers et même de petits mammifères de la taille d'un rat (certains Nepenthes). Pour ma part, j'ai pu observer sur mes Dionaea des captures d'insectes (mouches...), de gastéropodes (limaces...) et de batraciens (tritons et grenouilles).

UNE ADAPTATION AUX MILIEUX PAUVRES
L'apparition de la carnivorité chez les plantes est difficile à déceler. Pas vraiment de date, on connaît quelques fossiles dont les plus anciens remontent à 85 millions d'années et qui semblent être des ancêtres d'Aldrovanda vesiculosa. Pour l'origine, on doit plutôt évoquer un long cheminement, différent d'un groupe de plantes à l'autre, conduisant certaines espèces vers la capture de proies, puis, fait essentiel, à leur digestion. Leur alimentation, ainsi enrichie en éléments nutritifs, leur permet de s'adapter aux milieux très pauvres où on les rencontre essentiellement : tourbières acides, eaux acides, sols sableux lessivés, et, parfois, habitats épiphytes. Encore faut-il préciser que la notion de milieux «pauvres» ou «carences» est toute relative puisqu'ils constituent l'habitat normal des plantes carnivores. Ce que nous appelons des milieux «riches», ou «normalement pourvus», peuvent leur être tout à fait toxiques... Elles s'y trouvent, par ailleurs, confrontées à la concurrence des végétaux classiques, qui prennent alors le dessus.

Plantes carnivores : Biologie et culture

Présentation de l'éditeur
L'existence de plantes qui capturent des animaux et les mangent paraît presque invraisemblable. Lorsqu'à la fin du XVIIIe siècle, on informe pour la première fois le botaniste Cari von Linné d'une observation étonnante, celle d'une dionée en train de capturer une mouche, il juge ce cas " contre les lois de la nature établies selon la volonté divine ". Près d'un siècle plus tard, en 1875, Charles Darwin prouve scientifiquement l'existence des "plantes carnivores ". Aujourd'hui, quelque 680 espèces de plantes carnivores sont connues... et les recherches continuent. Régulièrement, de nouvelles espèces sont découvertes, mais aussi des capacités inattendues chez les végétaux, comme la capture d'animaux par une mousse. Les plantes carnivores, ces " fleurs du mal ", nous réservent encore bien des surprises. Très complet et intégrant les découvertes les plus récentes, l'ouvrage comporte deux grandes parties : l'une présente les connaissances sur la biologie, l'écologie, l'évolution ou encore la culture des plantes carnivores ; l'autre partie est consacrée à la description des grandes familles de plantes carnivores. Chaque famille fait l'objet d'une fiche, illustrée de photos et dessins, où sont décrites ses principales caractéristiques, ses espèces emblématiques et où sont donnés quelques conseils pratiques de culture.

Biographie de l'auteur:
Wilhelm Barthlott est directeur de l'Institut Nees de biodiversité des plantes de l'université de Bonn, et du jardin botanique de l'université où il a développé une des plus grandes collections de plantes carnivores au monde. Stefan Porembski, directeur du jardin botanique et de l'Institut botanique de l'université de Rostock, étudie l'écologie des plantes carnivores tropicales. Rüdiger Seine, instructeur astronaute auprès de l'Agence spatiale européenne à Cologne, est spécialiste en écologie tropicale et des droséras. Inge Theissen étudie la systématique moléculaire et l'évolution des Lentibulariaceae à l'Institut Nees. La collection Botanique est dirigée par Aline Raynal-Roques qui, avec la collaboration d'Albert Roguenant, a adapté et complété le présent ouvrage.

Plantes carnivores : Biologie et culture

Présentation de l'éditeur:
Plus de 500 espèces de plantes carnivores sont réparties dans le monde entier. Ces plantes, qui souvent séduisent l'imagination des hommes, absorbent les insectes qui viennent "se noyer" aux creux de leurs feuilles ! Savez-vous que l'on peut démarrer facilement, en suivant les conseils fondamentaux, une collection de plantes originales, alliant beauté et respect de la nature? Dans ce livre richement illustré, vous découvrirez : le fonctionnement des plantes carnivores (pièges passifs et pièges actifs) ; les modes de culture (température idéale par espèces, luminosité et humidité désirées, etc.) ; les lieux de développement (tourbière extérieure, serre, vivarium, pots et bacs); les techniques de multiplication (fécondation artificielle, semis, multiplication végétative naturelle et artificielle); les problèmes rencontrés lors de leur culture (champignons, insectes, virus, etc.) et comment y remédier. En 50 fiches très détaillées, l'auteur nous fait voyager des Drosera capillaris aux Utriculaires livides, en passant par les Byblis à fleur de lin ou les plantes cobra !

Biographie de l'auteur:
Gérard Blondeau, photographe professionnel naturaliste, est journaliste spécialisé en faune, flore, activités de la nature et artisanat. Il anime l'association Climax qui a pour but d'apprendre l'observation de la nature, l'apprentissage à l'écologie, à l'entomologie et aux principales sciences naturelles, et est l'auteur de très nombreux articles sur la nature, les insectes et les plantes carnivores.

Plantes carnivores : Biologie et culture

Présentation de l'éditeur:
Les carnivores ne vous font pas peur.
Les bases
Les plantes carnivores dans le règne végétal, leurs modes de fonctionnement, leur protection
Le savoir-faire
La culture en pot ou en pleine terre, la taille et la multiplication.
Les plantes
Le portrait des espèces les plus appréciées : poireau carnivore, plante arc-en-ciel, attrape-mouche de Vénus, drosophylle, etc.

Biographie de l'auteur: Naturaliste de passion et de formation, Patrick Mioulane est journaliste et photographe depuis 1971. Connu comme expert du monde végétal et du jardin, il a écrit une centaine d’ouvrages, collabore à de nombreuses revues, a participé à plus de 1 200 émissions de télévision et co-anime chaque samedi une émission de jardinage sur RMC. Plongeur depuis 1976, il est moniteur premier degré et se passionne pour la biologie et la photo sous-marine.

Plantes carnivores : Biologie et culture

Plantes carnivores est riche en explications sur les origines, les espèces spécifiques mais également les techniques pour faire pousser ses plantes avec succès. Le point de vue historique et scientifique permet de comprendre la fascination qu elles exercent sur les hommes. Les détails raviront les amateurs et passionneront les naturalistes.

Présentation de l'éditeur:
Plantes carnivores est riche en explications sur les origines, les espèces spécifiques mais également les techniques pour faire pousser ses plantes avec succès. Le point de vue historique et scientifique permet de comprendre la fascination qu elles exercent sur les hommes. Les détails raviront les amateurs et passionneront les naturalistes.